Eugène Sue... en Périgord
France-Loisirs aurait pu s'en charger, Harlequin n'a pas été sollicité … Ce sont, finalement, les éditions du Peirregord qui s'y sont collées : leur patron, Bertrand-Hugues Abtey, publie l'inénarrable trilogie de Bertand Brachet de Born, premier écuyer du Baron de Beynac, qui se voit assailli par mille tourments ! Une saga narrée par un certain Hugues de Queyssac, spécialiste d'histoire médiévale, qui aurait été chargé de cours puis maître de conférences « dans de prestigieuses universités » (sic)
Pour mettre l'eau à la bouche du lecteur « lecornetabouquins » ne résiste pas au plaisir jubilatoire de publier, in extenso, l'argumentaire publicitaire ci dessous !
« Le jour de la Saint Jean-Baptiste, à huit jours des calendes de juillet, en l'an de disgrâce 1348, la Bête immonde à la face hideuse nous avait saisi la main. Le Mal noir rôdait autour de nous depuis trois ans, entraînant dans son sillage criminels et innocents. La pestilence ravagea la baronnie, la comté de Pierregord et les royaumes les plus lointains de l'Occident à l'Orient. Du Sud au Nord. En moins d'un an. Un feu sur trois disparut à tout jamais.
Simple écuyer du baron de Beynac, je franchis les quelques lieues qui nous séparaient de sa seigneurie de Commarque pour rejoindre enfin, par des voies souterraines, ma douce mie Isabeau de Guirande et poursuivre mon enquête criminelle. Après avoir risqué ma vie et celle de mes compains de route à moult reprises et franchi des obstacles que nous pensions insurmontables, mon fidèle ami, Arnaud de la Vigerie, disparut dans d'étranges circonstances.
Je pris le commandement de la place à charge de la mieux remparer pour déboter un assaut anglais. En poursuivant mes investigations sur l'origine criminelle de la pestilence, je fus à nouveau victime de tentatives de meurtre et me heurtai à une épouvantable conspiration du silence. D'aucuns la baillèrent de leur vie dans d'atroces souffrances pour m'avoir mis sur la voie d'un incroyable secret. Alors que j'envisageai de signer le pacte du Diable avec la trop belle châtelaine de Guirande, l'épouse du baron de Beynac, j'appris trois nouvelles stupéfiantes. Des pans entiers de ma vie vacillèrent alors. De grâce, aidez-moi à trancher les têtes de l'Hydre de Lerne et à percer le mystérieux secret de l'Ordre du Temple. Pour découvrir l'emplacement du fabuleux trésor des hérétiques albigeois. Caché depuis plus d'un siècle. »
Eugène Sue … et il transpire même à très grosses gouttes !
http://www.i-kiosque.fr/acatalog/EDITIONS_DU_PIERREGORD.html#a9782352910053
Site web : http://www.perigord-editions.com
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